La chirurgie réfractive comprend un ensemble de techniques très largement utilisées et très sûres (LASIK, PKR, SMILE…). Néanmoins, comme toute chirurgie, il existe des risques chirurgicaux et des contre-indications.
Le bilan pré-opératoire est systématique et obligatoire.
Il permet de décider quelle est le type de chirurgie la plus adaptée ou la plus sûre pour chaque patient, et de dépister des anomalies cornéennes contre-indiquant la chirurgie. Le bilan pré-opératoire commence par un questionnement sur vos antécédents médicaux, vos habitudes de vie et la vérification de la stabilité de votre défaut de vision. Un examen clinique complet est ensuite réalisé avec une ou plusieurs mesures de votre acuité visuelle, sans et avec correction.
Il permet de décider quelle est le type de chirurgie la plus adaptée ou la plus sûre pour chaque patient, et de dépister des anomalies cornéennes contre-indiquant la chirurgie. Le bilan pré-opératoire commence par un questionnement sur vos antécédents médicaux, vos habitudes de vie et la vérification de la stabilité de votre défaut de vision. Un examen clinique complet est ensuite réalisé avec une ou plusieurs mesures de votre acuité visuelle, sans et avec correction.
La réalisation d’examens complémentaires spécialisés permet ensuite de vérifier votre éligibilité aux différents types d’interventions de chirurgie réfractive:
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2. L'OCT de la cornée
La mesure de l’épaisseur cornéenne (pachymétrie) est réalisée au mieux par mapping OCT. Les techniques de chirurgie réfractives cornéennes entraînent un amincissement plus ou moins important de la cornée. Il est donc essentiel de vérifier que l’épaisseur cornéenne est suffisante en pré-opératoire pour minimiser les risques chirurgicaux. L’OCT permet également une cartographie très précise de l’épaisseur de la cornée, indispensable pour dépister une asymétrie ou un amincissement suspect, contre-indiquant les techniques chirurgicales au laser. |
Sous réserve des résultats de l’examen clinique et des examens complémentaires, votre chirurgien vous proposera un ou plusieurs types d’interventions possibles, en vous détaillant leurs avantages et inconvénients respectifs.
3. La skiascopie: mesure de la vision avec des gouttes
Dans de nombreux cas, votre chirurgien effectuera un examen de vision sous cycloplégie pour compléter le bilan. On utilise un collyre (Skiacol ®) qui agit en 45 minutes environ, après quelques instillations dans les deux yeux. Il permet de bloquer les mécanismes d’accommodation, souvent importants chez les patients jeunes, pouvant être source d’erreur lors de la première mesure de l’acuité visuelle. Chez certains patients, l’examen sous cyclopégie (Skiacol ®) peut se révéler indispensable pour la détermination exacte du défaut visuel à corriger.
Il faut noter que l’action de ce produit est prolongée (environ 12 à 15 heures), pouvant être très gênante dans vos activités quotidiennes (difficultés en vision de près, contre-indication à la conduite automobile…).
Dans de nombreux cas, votre chirurgien effectuera un examen de vision sous cycloplégie pour compléter le bilan. On utilise un collyre (Skiacol ®) qui agit en 45 minutes environ, après quelques instillations dans les deux yeux. Il permet de bloquer les mécanismes d’accommodation, souvent importants chez les patients jeunes, pouvant être source d’erreur lors de la première mesure de l’acuité visuelle. Chez certains patients, l’examen sous cyclopégie (Skiacol ®) peut se révéler indispensable pour la détermination exacte du défaut visuel à corriger.
Il faut noter que l’action de ce produit est prolongée (environ 12 à 15 heures), pouvant être très gênante dans vos activités quotidiennes (difficultés en vision de près, contre-indication à la conduite automobile…).
CENTRE DE MÉDECINE,
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